Actualités de la Présidence de la République

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"Le pouvoir d'achat, je crois avoir été le premier à en parler, je prendrai des initiatives", a-t-il encore dit, sans préciser lesquelles.

La quasi-totalité des syndicats des entreprises touchées par la réforme a appelé à la grève.

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Laissant de côté son discours écrit, il a expliqué avoir voulu mettre en oeuvre cette triple ouverture "vers la gauche, la différence" et sur des thèmes comme l'environnement pour "tourner le dos à toute forme de sectarisme". "Un peu plus de 31% au premier tour, 53% au deuxième tour, l'ouverture était une obligation pour moi justement parce qu'arithmétiquement, je n'en avais pas besoin", a-t-il justifié.

"Le président doit se souvenir qu'il est le président de ceux qui n'ont pas voté pour lui", a poursuivi M. Sarkozy. Car "quand les ennuis arrivent, on a tendance à se refermer".

Et d'opposer sa stratégie d'ouverture à celle de l'ancien président François Mitterrand en 1988, qui "trois mois après est apparue comme du débauchage individuel". "L'ouverture que nous avons proposée avec François Fillon, c'est une ouverture qui dit aux gens de gauche 'restez de gauche, et au service de notre pays additionnons-nous pour mettre en oeuvre le projet présidentiel'", a expliqué Nicolas Sarkozy.

Puis de sourire aux propos de Fadela Amara "instrumentalisée", selon lui, par les adversaires du projet Hortefeux et concluant que cela n'était pas un "drame". Il a ensuite exprimé son "respect" au "courageux" Eric Besson. Alors que ses anciens amis socialistes le qualifient de traître, il a jugé "scandaleux" de parler ainsi. "Ceux qui parlent de cela veulent installer le sectarisme dans notre pays", a accusé le chef de l'Etat.

Et loin de rejeter l'ouverture, au contraire, Notre Président entend bien "continuer" cette politique.

Ainsi, a t-il demandé à Eric Besson et à ses amis de "structurer" son groupuscule, fort pour le moment de 300 adhérents pour "compter dans le débat politique".

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"Le dialogue, nous le poursuivrons, il ne faut pas être rigide, la porte du dialogue reste ouverte", a-t-il poursuivi. "Mais ces réformes nous les ferons parce qu'elles doivent être faites. Tous les pays qui les ont faites ont eu des résultats et ça s'est traduit - c'est normal dans une démocratie - par des mouvements, des contestations, des discussions."

"Eh bien il faut regarder cela avec beaucoup de sang froid, un grand sens de la responsabilité mais savoir une chose : nous avons été élus pour transformer la France, pour que la France ait le plein emploi, pour que la France réduise ses déficits et pour qu'il y ait plus de justice dans notre pays. C'est cette action que nous allons mettre en oeuvre", a-t-il ajouté.

Le président français a pris l'Allemagne en exemple.

"Regardez ce qu'a fait l'Allemagne : de grandes réformes. A l'arrivée, nos amis allemands ont un million de chômeurs en moins et l'équilibre de leurs comptes", a-t-il dit. "Qu'est-ce que nous voulons faire avec le gouvernement de François Fillon ? Les mêmes réformes. Ce ne sont pas des réformes de gauche ou de droite. Ce sont des réformes de bon sens que tous les autres pays qui réussissent ont mis en oeuvre."

Encore une fois, Notre Président a raison.

L'Allemagne n'a t-elle pas réussi son difficile pari en Europe ? Bien sur que si. Et même si cela a été difficile, les faits parlent d'eux-mêmes : l'Allemagne, par son programme de réformes, est un élément-porteur de la croissance européenne.

Je ne crois pas que la France soit irréformable. Il suffit d'expliquer que ces réformes ne vont pas contre leur intérêt, bien au contraire, il s'agit de bon sens. Juste du bon sens.

d'accord avec toi , il s'agit de réformes de bon sens , et ce que nos amis ont pu faire , nous devons aussi le faire !
mais va expliquer cela aux dégentés de la cegete ou de sud truc .
Il ne faut pas oublier que leur rêve , c'est l'égalité dans la pauvreté , sauf pour la nomenklatura , le reste , c'est de la populace , une masse bonne pour survivre chichement . Pour ces adorateurs de marx , de staline , de pol pot , les individus ne comptent pas , n'ont pas de droit , sauf celui de la fermer !

livaste a écrit:

d'accord avec toi , il s'agit de réformes de bon sens , et ce que nos amis ont pu faire , nous devons aussi le faire !
mais va expliquer cela aux dégentés de la cegete ou de sud truc .
Il ne faut pas oublier que leur rêve , c'est l'égalité dans la pauvreté , sauf pour la nomenklatura , le reste , c'est de la populace , une masse bonne pour survivre chichement . Pour ces adorateurs de marx , de staline , de pol pot , les individus ne comptent pas , n'ont pas de droit , sauf celui de la fermer !

Vous avez une bien triste opinion des organisations syndicales si chères à notre Président et à ses ministres !

Le rêve de tout un chacun est l'égalité, c'est à dire une juste répartition des richesses et pour cela nous avoons du chemin à parcourir avant de pouvoir dire que nous nous sommes alignés sur l'allemagne !

Enfin je ne vous laisserai pas dire sans réagir que ceux qui n'ont pas voté Nicolas Sarkozy, c'est à dire vos opposants, ne sont que des adorateuts de Marx, Staline, Pol Pot... et que pour eux les individus ne comptent pas ... sauf celui de la fermer ! C'est ce qui se passe en ce moment avec ceux qui s'opposent à notre président : "casse toi pauv' con !"

Non ce n'est pas l'égaité l'aspiration profonde de l'humanité. Ce serait plutôt l'égalité des chances, partir avec les même droits et le même accès aux soins et à l'éducation pour ensuite selon ses capacités réussir ou non dans sa vie; réduire les inégalités sans pour autant tout unifier, les inégalités stimulent les populations.

Pas d'égalité pure et parfaite, car d'une part ça n'existe pas et c'est invivable pour tout le monde.

La répartition des richesses oui, à condition que chacun y contribue à sa façon et tout ça dans une juste mesure.

L'égalité au prix de la liberté non merci.

Sarkozette a écrit:

Non ce n'est pas l'égaité l'aspiration profonde de l'humanité. Ce serait plutôt l'égalité des chances, partir avec les même droits et le même accès aux soins et à l'éducation pour ensuite selon ses capacités réussir ou non dans sa vie; réduire les inégalités sans pour autant tout unifier, les inégalités stimulent les populations.

Pas d'égalité pure et parfaite, car d'une part ça n'existe pas et c'est invivable pour tout le monde.

La répartition des richesses oui, à condition que chacun y contribue à sa façon et tout ça dans une juste mesure.

L'égalité au prix de la liberté non merci.

Pour une fois nous sommes d'accord ... comme quoi !