Sarkozy propose à nouveau une réforme du droit psychiatrique

Ce n'est cependant pas la première fois que notre Président lance des réformes de ce genre après des faits divers dramatiques. Il avait déjà procédé ainsi après une affaire analogue en août 2007 lorsqu'un malade avait assassiné deux aides-soignantes à Pau avant d'être déclaré irresponsable pénalement.

Une réforme avait d'ailleurs été proposée et constituait en une sorte de procès des personnes déclarées irresponsables, avec une possible "déclaration de culpabilité civile", mais le projet avait été abandonné en raison de protestations des psychiatres, des syndicats de magistrats et un avis négatif du Conseil d'Etat.

Espérons qu'après ce nouveau drame, nos chers juges et médecins fassent preuve d'un peu plus de lucidité...

Les psychiatres sont avec les juges ,les 2 seules catégories professionnelles jamais responsables !
Et tu peux être certains qu'ils vont ; ensemble , se mobiliser pour défendre leur privilège !

Cette tragédie d'hier est inadmissible , et depuis , il est encore plus inacepptable de voir des psys défiler à la télé pour clamer qu'ils ne pouvaient savoir , ou que l'HP n'est pas la prison !!
Et ce jeune homme , il avait le droit de se faire tuer parce que des psy sont incapables de déterminer qui est dangereux qui ne l'est pas ?
S'ils ne sont pas capables de faire cette distinction c'est que leurs expertises sont de le merde !

Mr le Président a écrit:

Une réforme avait d'ailleurs été proposée et constituait en une sorte de procès des personnes déclarées irresponsables, avec une possible "déclaration de culpabilité civile", mais le projet avait été abandonné en raison de protestations des psychiatres, des syndicats de magistrats et un avis négatif du Conseil d'Etat.

Espérons qu'après ce nouveau drame, nos chers juges et médecins fassent preuve d'un peu plus de lucidité...

Nos magistrats et nos médecins sont très lucides et la loi que tu cites a été refusé par le conseil d'Etat .

Maintenant, au lieu de légiférer il serait préférable et plus utile de cesser de supprimer des postes de personnel médical spécialisé en psychiatrie ( je sais de quoi je parle, ma fille est infirmière en psychiatrie ), et de cesser de supprimer des postes de magistrats.

La schizophrénie est une maladie pernicieuse. Selon son comportement, son langage et ses réactions le malade peut sembler tout à fait normal, mais, hélas, une crise complètement IMPREVISIBLE peut survenir à tout moment et ça peut être un drame tel qu'on vient de le vivre !

Je ne vois pas en quoi une LOI va régler ce problème sauf à enfermer ou incarcérer tous les gens atteints de cette maladie ! Mais alors il faut cesser de supprimer des hopitaux ! Soyons un peu logiques !

Albéricneirret a écrit:

La schizophrénie est une maladie pernicieuse. Selon son comportement, son langage et ses réactions le malade peut sembler tout à fait normal, mais, hélas, une crise complètement IMPREVISIBLE peut survenir à tout moment et ça peut être un drame !

Un drame imprévisible ...

Et vous pensez que nous avons élu un homme pour qu'il fasse ce constat -là d'impuissance ?

C'est ça votre vision d'un bon Président ?

Texte rejeté par le Conseil d'Etat ...

Ce garçon n'a pas eu de chance n'est-ce pas ? Là pas au bon endroit, pas au bon moment ...

Votre vision d'un Chef d'Etat c'est un homme ou une femme qui est élu, ne fait rien, ne change rien et ne s'offusque de rien .

Des postes, des postes en veux-tu en voilà, il n'y en a jamais assez ...

Plus de magistrats, encore et encore ...

Des hôpitaux, tout plein partout et plein de fonctionnaires incapables partout, car seul le nombre fait le succès ...

Il en a eu plein ce schizophrène, des psychiatres et tous ont été incapables de voir qu'il recommencerait !

Une victime d'un schizophrène témoigne

Par LEXPRESS.fr, publié le 14/11/2008 17:10 -

Citation :

Romain S. a été poignardé en 2006 par un schizophrène qui partageait sa chambre d'hôpital. Il se bat aujourd'hui contre ce qu'il appelle "les négligences" de l'institution, alors qu'un étudiant vient d'être tué à Grenoble par un patient qui s'était évadé de l'hôpital psychiatrique.
Agé de 23 ans, Romain S. étudie aujourd'hui l'informatique en Ecosse. En janvier 2006, alors qu'il était hospitalisé à Chambéry (Savoie), il avait été grièvement blessé par son voisin de chambre. Ce jeune homme, schizophrène, avait lui-même été admis dans l'établissement après avoir sauté de la fenêtre de son domicile, et s'être fracturé les talons. A la suite du drame de Grenoble (Isère) où un étudiant a été tué mercredi 12 novembre à coups de couteau par un patient qui s'était évadé de l'hopital psychiatrique, Romain S. crie son indignation.

Que vous est-il arrivé exactement?

J'étais hospitalisé à Chambéry, lorsque j'ai vu arriver dans ma chambre un patient dont les deux talons étaient fracturés. Il était en orthopédie avec moi, et visiblement, le personnel de l'hopital n'avait pas été tenu au courant de ses troubles psychiatriques lourds. On l'a mis dans ma chambre, parce que nous étions à peu près du même âge. Au premier abord, je n'ai rien remarqué. Nous avons eu une conversation plutôt cordiale. Il me paraissait juste très marqué physiquement. Et puis, tout a dérapé. Il m'a d'abord proposé de la cocaïne. J'ai refusé gentiment et je me suis dit tant qu'il est gentil il n'y a pas de problème. Après, j'ai su qu'il s'était engueulé avec une infirmière parce qu'il ne voulait pas prendre ses médicaments. Qu'il s'était vanté de possèder deux couteaux. L'un d' entre eux avait été découvert et confisqué. Cette nuit-là, j'ai travaillé très tard, et je me suis endormi. Ce sont les coups de couteau qui m'ont réveillé. Il me frappait et me tenait des propos incohérents tout en m'insultant. J'ai tenté d'alerter d'abord discrètement l'infirmière, mais la sonnette ne fonctionnait pas. A 5 heures, parce qu'elle entendait du bruit, elle a fini par venir voir dans la chambre. J'avais le coeur percé, et j'avais peur pour elle. Je lui ai fait signe, elle a fait sortir mon agresseur, puis j'ai appelé la police. Ils ne m'ont pas tout de suite cru. Quand les secours sont enfin arrivés, j'ai été opéré tout de suite, il y avait urgence pour ma vie. J'ai passé deux semaines à l'hopital, puis j'ai été transporté à Grenoble à la suite de complications.

Vous vous dites aujourd'hui indigné. Pourquoi?

Ce que je ne supporte pas, c'est la manière dont mon affaire a été traitée. Des pressions ont été exercées sur moi et sur ma famille pour que ce soit étouffé. On nous parlait d'un malheureux concours de circonstance. Je n'ai reçu d'excuses de personne. J'ai porté plainte contre mon agresseur pour tentative de meurtre. Il a été déclaré irresponsable. J'ai aussi engagé une action au tribunal administratif de Grenoble, pour que soient déterminées les responsabilités. Mon agresseur était connu. Il avait des antécédents de violence en absence de traitement, situation dans laquelle il était le jour où il s'en est pris à moi. Ses parents avaient prévenu de sa dangerosité, lorsqu'il ne prenait pas ses médicaments

Qu'espérez-vous aujourd'hui?

D'abord je trouve lamentable qu'il faille qu'une victime ait été tuée à Grenoble pour que le président de la République réagisse. Moi, je n'ai jamais été reçu par le juge d'instruction qui travaillait sur mon dossier. Je n'ai reçu à ce jour aucun dédommagement, et l'hôpital intente une action en diffamation contre moi! Je souhaiterais être reconnu comme victime, qu'on arrête de me parler d'un concours de circonstances malheureux, alors qu'il y a eu des négligences. C'est dur de vivre avec ça. Je suis sujet à des angoisses et des cauchemars. Quand j'ai besoin d'aller dans une clinique, je demande à être seul. Dans la rue, je me méfie de tout le monde. Qu'on reconnaisse qu'il s'est passé quelque chose, cela m'aidera vraiment.

Voila l'humanisme vu par les gauchistes , les psychiatres !
Il faut être humain avec les tueurs fous , et tant pis pour les victimes : non lieu donc pas de coupable , pas de victime , pas d'indemnisation !!
Et je crois pouvoir rappeler à notre gauchiste de service , qu'il faudrait qu'elle apprenne à comprendre ce qu'elle lit , je n''ai pas accusé les juges puisque la loi dans ce cas les empêchent de statuer sur le sort des coupables et donc des victimes !

une loi stupide qui dit qu'un tueur n'a pas tué , qu'une victime n'est pas morte !
debout les morts !

héra a écrit:

Albéricneirret a écrit:

La schizophrénie est une maladie pernicieuse. Selon son comportement, son langage et ses réactions le malade peut sembler tout à fait normal, mais, hélas, une crise complètement IMPREVISIBLE peut survenir à tout moment et ça peut être un drame !

Un drame imprévisible ...

Et vous pensez que nous avons élu un homme pour qu'il fasse ce constat -là d'impuissance ?

C'est ça votre vision d'un bon Président ?

Texte rejeté par le Conseil d'Etat ...

Ce garçon n'a pas eu de chance n'est-ce pas ? Là pas au bon endroit, pas au bon moment ...

Votre vision d'un Chef d'Etat c'est un homme ou une femme qui est élu, ne fait rien, ne change rien et ne s'offusque de rien .

Des postes, des postes en veux-tu en voilà, il n'y en a jamais assez ...

Plus de magistrats, encore et encore ...

Des hôpitaux, tout plein partout et plein de fonctionnaires incapables partout, car seul le nombre fait le succès ...

Il en a eu plein ce schizophrène, des psychiatres et tous ont été incapables de voir qu'il recommencerait !

Etant donné que vous n'intervenez non pas pour débatre mais uniquement pour me provoquer je ne vous apporterai aucune réponse.

J'ajouterai seulement un commentaire :

Votre dernière phrase est tout simplement une insulte grossière à l'encontre des médecins psychiatres ... ! Vous devriez vous informer sur cette maladie avant d'écrire de pareilles choses !

Ce sera tout !

livaste a écrit:

Une victime d'un schizophrène témoigne

Par LEXPRESS.fr, publié le 14/11/2008 17:10 -

Citation :

Cette nuit-là, j'ai travaillé très tard, et je me suis endormi. Ce sont les coups de couteau qui m'ont réveillé. Il me frappait et me tenait des propos incohérents tout en m'insultant. J'ai tenté d'alerter d'abord discrètement l'infirmière, mais la sonnette ne fonctionnait pas. A 5 heures, parce qu'elle entendait du bruit, elle a fini par venir voir dans la chambre. J'avais le coeur percé, et j'avais peur pour elle. Je lui ai fait signe, elle a fait sortir mon agresseur, puis j'ai appelé la police. Ils ne m'ont pas tout de suite cru. Quand les secours sont enfin arrivés, j'ai été opéré tout de suite, il y avait urgence pour ma vie. J'ai passé deux semaines à l'hopital, puis j'ai été transporté à Grenoble à la suite de complications.

Vous vous dites aujourd'hui indigné. Pourquoi?

Ce que je ne supporte pas, c'est la manière dont mon affaire a été traitée. Des pressions ont été exercées sur moi et sur ma famille pour que ce soit étouffé. On nous parlait d'un malheureux concours de circonstance. Je n'ai reçu d'excuses de personne. J'ai porté plainte contre mon agresseur pour tentative de meurtre. Il a été déclaré irresponsable. J'ai aussi engagé une action au tribunal administratif de Grenoble, pour que soient déterminées les responsabilités. Mon agresseur était connu. Il avait des antécédents de violence en absence de traitement, situation dans laquelle il était le jour où il s'en est pris à moi. Ses parents avaient prévenu de sa dangerosité, lorsqu'il ne prenait pas ses médicaments

.

Et je crois pouvoir rappeler à notre gauchiste de service , qu'il faudrait qu'elle apprenne à comprendre ce qu'elle lit , je n''ai pas accusé les juges puisque la loi dans ce cas les empêchent de statuer sur le sort des coupables et donc des victimes !

je ne suis pas de service ...

Quand on ne connait pas une maladie et ses conséquences on s'informe ... et sans médire, l'Express n'est pas à proprement parlé une revue rès spécialisée en psychiatrie mais plutôt en affaires people ! essayez de trouver mieux ouà défaut renseignez-vous sur le web ... vous verrez que cette maladie apporte des réactions complètement imprévisibles ... La victime qui écrit par l'intermédiaire de l'Express l'avoue elle - même !

tu commences à me pomper , et au passage je connais cette maladie , moi j'ai pas besoin d'aller sur wiki pour cela , j'ai suivi des cours de psycho patho au cours de mes années d'études !

Inutile de t'énerver ... c'est un trait qui sous-entend une méconnaissance. Quand on est sur de soi l'énervement n'a pas lieu d'exister !

Pour en revenir à ton post dernier : Qui te parles de Wiki ... ma fille est infirmière en psychiatrie depuis plus de 10 ans, moi-même suis dans le même milieu professionnel ... alors cette maladie je prétends la connaître et ça n'est pas pour autant que je sous-estime tes connaissances

tu nous fatigues , vas donc sur la centaine de fora où tu trolles !
Tu es vraiment trop stupide te bornée pour que je continue à te répondre tchao !

Je ne parle pas aux imbéciles ,ça ne risqeu pas de les instruire !

Désolée mes amis de pousser ce coup de gueule !

Tchao !